La rentrée avait bien commencé pour Philippe Aragneau et Francis Mazotti : malgré une connaissance du terrain haut-savoyard moindre que celle de ses rivaux, l’équipage de la 206 Super 1600 officielle pointait à seulement 1″5 d’Arnaud Augoyard à l’issue de la première spéciale de Joux Verte vendredi matin.
En le devançant de 1/10e de seconde dès le second chrono de Vinzier, Philippe démontrait que le duel entre les deux jeunes pilotes officiels du Super 1600 s’annonçait serré. Après la 3e spéciale, Aragneau faisait quasiment jeu égal et tenait la 3e place à 3″8 de Augoyard. La 4e spéciale Les Alpes du Léman, la plus longue du rallye (25,96 km), était hélas révélatrice d’un ennui technique qui allait clore prématurément la course de Philippe et Francis. Martin Biju Duval, le team manager, explique la raison ayant amené Peugeot Sport à retirer la 206 Super 1600 après l’arrivée de la 6e spéciale, Morillon-Grand Massif : « La décision du retrait de Philippe a été justifiée par un lot de pneumatiques défectueux, clairement identifié : des pneumatiques dont la bande de roulement se détachait. Depuis le début de notre collaboration avec Pirelli, nous n’avons jamais rencontré ce type de problème, même lors d’épreuves particulièrement contraignantes pour les pneus à cause de la température extérieure ou de la nature abrasive des routes. Tous les pneus dont nous disposions pour le rallye du Mont-Blanc provenant du même lot, la décision d’arrêter s’imposait d’elle-même. »
Malgré ces circonstances exceptionnelles, Philippe Aragneau retient un élément de satisfaction de son rallye écourté : « Malgré nos problèmes, nous avons fait le maximum, Francis et moi, pour aller le plus vite possible, ce qui nous a permis de rester au contact de Arnaud Augoyard. Cela nous motivait et on l’a même battu dans la 2e spéciale. Je suis donc très content d’avoir pu jouer avec lui jusqu’à notre retrait à la sortie de la 6e spéciale. »
Communiqué de presse Peugeot Sport
Philippe Aragneau contraint d’abandonner par sécurité…
dimanche 10 septembre 2006, par Fabien
La rentrée avait bien commencé pour Philippe Aragneau et Francis Mazotti : malgré une connaissance du terrain haut-savoyard moindre que celle de ses rivaux, l’équipage de la 206 Super 1600 officielle pointait à seulement 1″5 d’Arnaud Augoyard à l’issue de la première spéciale de Joux Verte vendredi matin.
En le devançant de 1/10e de seconde dès le second chrono de Vinzier, Philippe démontrait que le duel entre les deux jeunes pilotes officiels du Super 1600 s’annonçait serré. Après la 3e spéciale, Aragneau faisait quasiment jeu égal et tenait la 3e place à 3″8 de Augoyard. La 4e spéciale Les Alpes du Léman, la plus longue du rallye (25,96 km), était hélas révélatrice d’un ennui technique qui allait clore prématurément la course de Philippe et Francis. Martin Biju Duval, le team manager, explique la raison ayant amené Peugeot Sport à retirer la 206 Super 1600 après l’arrivée de la 6e spéciale, Morillon-Grand Massif : « La décision du retrait de Philippe a été justifiée par un lot de pneumatiques défectueux, clairement identifié : des pneumatiques dont la bande de roulement se détachait. Depuis le début de notre collaboration avec Pirelli, nous n’avons jamais rencontré ce type de problème, même lors d’épreuves particulièrement contraignantes pour les pneus à cause de la température extérieure ou de la nature abrasive des routes. Tous les pneus dont nous disposions pour le rallye du Mont-Blanc provenant du même lot, la décision d’arrêter s’imposait d’elle-même. »
Malgré ces circonstances exceptionnelles, Philippe Aragneau retient un élément de satisfaction de son rallye écourté : « Malgré nos problèmes, nous avons fait le maximum, Francis et moi, pour aller le plus vite possible, ce qui nous a permis de rester au contact de Arnaud Augoyard. Cela nous motivait et on l’a même battu dans la 2e spéciale. Je suis donc très content d’avoir pu jouer avec lui jusqu’à notre retrait à la sortie de la 6e spéciale. »
Communiqué de presse Peugeot Sport